Le samedi 21 juillet, des centaines de personnes se sont rassemblées au Marche pour notre éducation événement à Queen's Park à Toronto en opposition à l'abrogation par le premier ministre Doug Ford du programme d'éducation sexuelle de 2015.
Il y a eu une condamnation écrasante de l'abrogation par le gouvernement du programme d'éducation sexuelle de 2015. Une myriade de voix a fourni un aperçu complet des effets négatifs de l'abrogation : les expériences individuelles des étudiants ; éducateurs; experts dans le domaine de la santé sexuelle; et militants LGBTQ2S+.
Même si le gouvernement souhaite procéder à une révision du curriculum, il n'est pas nécessaire d'abroger l'actuel en attendant. L'ACLC a souligné que l'abrogation est un acte gouvernemental dangereux et discriminatoire et que nous n'hésiterions pas à porter le combat devant les tribunaux.
TEMPS FORTS DE L'ÉVÉNEMENT
Regardez Erica McLachlan, étudiante d'été de l'ACLC, s'élever contre l'abrogation de l'éducation sexuelle :
Regardez l'étudiante d'été de l'ACLC, Lea De Santis, s'adresser au rassemblement en français :
Regardez le discours de Rayne Fisher-Quann, organisatrice en chef de March for Our Education :
Regardez l'interview du Toronto Sun avec le conférencier Li Koo :
DANS LES NOUVELLES
Soleil de Toronto: Le retrait du programme d'éducation sexuelle laisse les étudiants sans protection : des manifestants
« Erica McLachlan, étudiante d'été en droit à l'Association canadienne des libertés civiles qui a pris la parole lors du rassemblement de samedi, a déclaré que le programme de 2015 reflète le fait que le Code des droits de la personne empêche la discrimination fondée sur l'identité de genre, l'expression de genre et l'orientation sexuelle, tandis que le programme de 1998 est antérieur à légalisé le mariage homosexuel.
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À propos de l’association canadienne sur les libertés civiles
L’ACLC est un organisme indépendant à but non lucratif qui compte des sympathisant.e.s dans tout le pays. Fondé en 1964, c’est un organisme qui œuvre à l’échelle du Canada à la protection des droits et des libertés civiles de toute sa population.
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