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10 mars 2021

Méfiez-vous des gouvernements canadiens qui offrent des cadeaux juridiques promettant une meilleure démocratie en 2021.  Canada, et l'Ontario en particulier, a déjà plus de restrictions sur l'argent dans politique que plus Démocraties occidentales. Si les politiciens peuvent acheter une élection aux États-Unis, diront certains, c'est totalement différent au Canada. Plus d'argent politique, plus de problèmes démocratiques, non ?  Donc le gouvernement de l'Ontario Nouveau le projet de loi 254, Loi protégeant les élections de l'Ontario, ça doit être une bonne nouvelle, pensez-vous. 

Détrompez-vous.  Rrestrictions sur l'argent en politique nécessairement limites enee discours. Cela empêche de nouvelles personnes, de nouveaux partis et de nouvelles idées de se présenter devant l'électorat.  Si tu veux diffusez vos idées à population de 14 millions d'habitants de l'Ontario, vous aurez besoin d'argent pour amplifier votre voix, au milieu des politiciens sortants dont les idées sont diffusées sur les nouvelles gratuitement, et qui augmentent ces médias gagnés avec publicités payantes.  Le pouvoir du titulaire dans une élection est impressionnant, de nouvelles restrictions sur les dépenses électorales et la publicité presque toujours faveur eose actuellement au pouvoir.   

Projet de loi 254, s'il est adopté, aurait changer certains règles pour élections provinciales – des changements qui rendront plus difficile pour les groupes et les organisations engagés politiquement de contribuer à des débats vitaux sur des questions affectant notre démocratie. Si elle est adoptée, nous pouvons anticiper les électionss dominé par les problèmes avancé par le principal des soirées  Conservateur, NPD, Libéral et Vert Les parties seront dicter les limites du débat et vousnpopulaire les questions électorales peuvent be plus facilement balayé sous le tapis par ceux qui veulent gouverner. Que vous vous considériez comme « politique » ou non, nous devrions tous être avoir des doutes sur lois qui cherchent à restreindre liberté d'expression dans le nom de soutenir la démocratie et la sauvegarde de l'intégrité des élections. 

L'objectif de limiter l'influence de l'argent en politique est louable, être sûr, mais nous avons raison d'être sceptiques vis-à-vis de tout gouvernement le projet de loi étant dépourvu de politique intérêt personnel.   Cette meilleur le moyen de atteindre le meilleure démocratie implique de nombreux différents outils, y compris le montant que les partis politiques et les candidats peuvent collecter et dépenser, et comment cela se compare aux limites imposées aux autres acteurs - ce qu'on appelle Tiers 

Les tiers sont ceux qui ne sont pas des candidats inscrits, des partis ou des associations de circonscription. Une association industrielle, un syndicat, unn organisation de défense des droits, ou un citoyen concerné - tous ces sont des tiers selon notre loi électorale.  Les gouvernements libéraux de l'Ontario ont par le passé modifié les lois provinciales sur le financement des élections pour restreindre le rôle des « tiers » dans le système politique. UNE 2016 loi a imposé des restrictions importantes sur l'argent que les tiers pourraient dépenser pour la « publicité politique » - un terme défini de manière extrêmement large et ne se limite pas à la publicité qui les références un candidat ou un parti politique Les modifications apportées à la loi en 2016 ne visaient pas uniquement les dépenses des tiers pendant la période électorale - elles plafonnaient ce qui pouvait être dépensé au cours d'une période préélectorale de six mois, ce qui signifie que pendant six mois avant une élection, les campagnes de sensibilisation à des questions politiques importantes ont été entravées par des plafonds de dépenses et les exigences d'enregistrement onéreuses.  

À l'époque, l'Association canadienne des libertés civiles s'est prononcée contre bon nombre de ces changements juridiques (libéraux), arguant qu'ils ont restreint de manière déraisonnable la liberté d'expression et que les restrictions de la période préélectorale de six mois étaient sans parallèle au Canada. Des restrictions similaires en Colombie-Britannique qui s'appliquaient pendant une période beaucoup plus courte ont été annulées par cette provinceCour d'appel comme inconstitutionnelle. Nous a exhorté le Comité qui examine le projet de loi en 2016 à éliminer les restrictions préélectorales sur les dépenses des tiers.   ONUheureusement, ces changements ont été fabriqué, et l'inévitable contestation constitutionnelle était lancé mais n'a pas encore été entendu par les tribunaux.  

Maintenant, le gouvernement provincial a décidé que restreindre la liberté d'expression pendant une période préélectorale de six mois n'est pas assez long. Ils ont proposé d'étendre la période préélectorale à une année complète avant une élection, sans apporter aucun ajustement au plafond des dépenses. Comme nous le savons tous, beaucoup de choses peuvent arriver en un an. Les Conservateur gle gouvernement prend un sévère Libéral idée et la rendre encore pire.   

Maintenant plus que jamais, presque tout le monde a une opinion sur la façon dont le gouvernement a gouvernécar ils limitent nos libertés fondamentales tous les jours, afin de adresser le pandemje. Nos dirigeants élus décident si nous peuvent quitter nos maisons, qui nous sommes autorisés à voir et ce que nous sommes autorisés à faire.  La gestion de l'économie de l'Ontario pendant la pandémie sera inévitablement un problème électoral.  Mais la Chambre de commerce de l'Ontario, par exemple, aurait être rompreejeoui entravé par cette nouvelle loi, lors d'une tout année électorale.  La gestion ontarienne du secteur des soins de santé sera aussi sans aucun doute un enjeu important au moment des élections. Mais les syndicats de la santé seront étouffés. Les discussions sur ces questions devraient être encouragées au nom de la démocratie – et non étouffées.  C'est un fondamental question de la liberté d'expression et de la participation démocratique. Il s'agit de s'assurer que les candidats et les partis ne peuvent pas monopoliser débat et que les individus et les associations aient voix au chapitre dans les questions d'actualité. Immuniser le gouvernement d'un examen minutieux ne fait rien pour faire avancer l'intégrité électorale, mais peut saper notre démocratie.  

Cara Zwibel est Directeur du programme Libertés fondamentales à l'Association canadienne des libertés civiles.

À propos de l’association canadienne sur les libertés civiles

L’ACLC est un organisme indépendant à but non lucratif qui compte des sympathisant.e.s dans tout le pays. Fondé en 1964, c’est un organisme qui œuvre à l’échelle du Canada à la protection des droits et des libertés civiles de toute sa population.

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