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20 juillet 2020 La première vague de COVID est peut-être en déclin en Ontario, mais si le gouvernement réussit, son emprise sur l'alimentation d'urgence ne va nulle part.   L'Ontario ggouvernement est essayer de mettre fin à l'état d'urgence légal et simultanément attendez à extraordinaire urgence pouvoirs. Un nouveau projet de loi déposé le 7 juillet 2020 aurait effectivement étendre les pouvoirs d'urgence du gouvernement tandis que éliminerment mécanismes de surveillance clés – au nom de la « flexibilité »C'est une démarche fondamentalement antidémocratique, et pour aggraver les choses, le gouvernement a présenté une motion d'attribution de temps qui permettra au projet de loi d'être adopté sans même faire l'objet d'un examen par un comité législatif et avec un débat très limitéLes Ontariens doivent réagir.  Cette existant loi d'urgence en Ontario confère d'énormes pouvoirs au premier ministre et à l'exécutif. C'est la loi la provincial le gouvernement a invoqué pour fermer les espaces publics, volet roulant écoles et entreprises, redéployer les personnels de santé, outrepasser les conventions collectives, frzut Résidentiel expulsions, restreindre sévèrement les rassemblements sociaux, religieux et culturels, et autoriser la délivrance de plus de $2,4 millions en amendes, à ce jour, pour non-conformité présuméeEn bref, faire face à une pandémie sans précédent, il a été utilisé pour contraindre sans précédented restrictions aux libertés individuelles.   La loi d'urgence actuelle de l'Ontario comporte des contrôles clés sur l'utilisation de ces pouvoirs d'urgence. Cette courant loi, par exemple, exige que l'Assemblée législative approuve les prolongations de l'état d'urgence chaque 28 jours. C'est une démocratie simple mais essentielle arrêter sur l'énorme autorité remis au premier ministre et gouvernement Ministres lors d'une urgenceIl offre une chance pour justification, discussion, débat, dissidence, et donne finalement autorité à notre élus individuels décider si ces pouvoirs extraordinaires doivent continuer à être accordés. Même dans un gouvernement majoritaire, les députés individuels conservent la possibilité de rompre les rangs et de voter avec leur conscience plutôt que toe til fait la fête  Cette Loi sur la réouverture de l'Ontario, aurait maintenir les pouvoirs d'exception existants tout en libérant l'exécutif de efficace contrôle démocratique. jet élimine la nécessité pour le gouvernement de déclarer une urgence de santé publique en cours et de demander l'approbation de l'Assemblée législative de prolongations continues. Cettese les pouvoirs seraient au lieu être conféré pour un an - sous réserve d'un renouvellement potentiellement indéfini avec l'approbation du législateur.   Par définition, une urgence ne peut devenir le statu quo. Une urgence, à des fins juridiques, est littéralement exceptionnelle.  Les pouvoirs d'urgence doivent aussi être exceptionnels. Le virus fait partie de notre monde, et bien que nous découvrions si et comment nous pouvons nous en débarrasser (ce que la science semble indiquer comme peu probable dans un avenir prévisible), nous devrons également trouver comment vivre avec lui dans une société qui respecte les principes démocratiques et qui valorise les droits de l'homme et les libertés civiles.    Nul doute que c'est une corvée de devoir retourner tous les trente jours devant la législature pour prolonger l'état d'urgence. Ça devrait être. La démocratie est conçue pour placer des contrôles significatifs sur les pouvoirs. Dans les situations d'urgence, ces freins et contrepoids démocratiques sont encore plus critiques.  Le nouveau UNEct est également présenté comme seul donner le Ontario gouvernement l'autorité qui est plus limité. Il permet uniquement la modification, l'extension ou la révocation d'ordonnances existantes – de nouvelles ordonnances ne pourraient pas être adoptées sans réinvoquer la législation d'urgence actuelle. Mais les mesures d'urgence déjà prévues touchent tous les aspects de la vie des Ontariens. Et la définition de l'amendement dans la loi proposée permet spécifiquement au pouvoir exécutif d'imposer « des exigences plus onéreuses ou différentes » et d'étendre – géographiquement ou autrement – l'application des ordonnances existantes. Les ordonnances peuvent même être modifiées pour s'appliquer rétroactivement et le pouvoir de modification est expressément exclu des exigences de déclaration régulières. La « limite » proposée par le gouvernement à ses pouvoirs d'amendement est si large qu'elle n'a pas de sens.  Cette Ontario gouvernement veut convaincre la population que nous retournons à la normale tout en conservant un pouvoir énorme. À un moment donné, l'état d'urgence doit prendre fin. La décision quant au moment où cela se produit doit être soumise à un contrôle démocratique. Et si nous ne sont pas encore au bout, qu'il y ait des mesures d'urgence rationnelles, proportionnées et nécessaires. Mais n'essayez pas de nous convaincre qu'il y a quelque chose de normal à ce qu'un gouvernement conserve des pouvoirs d'urgence extraordinaires tout en sapant la responsabilité démocratique. 

À propos de l’association canadienne sur les libertés civiles

L’ACLC est un organisme indépendant à but non lucratif qui compte des sympathisant.e.s dans tout le pays. Fondé en 1964, c’est un organisme qui œuvre à l’échelle du Canada à la protection des droits et des libertés civiles de toute sa population.

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