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*METTRE À JOUR*
Association canadienne des libertés civiles c. Province du Nouveau-Brunswick
 
1 juin 2021

FREDERICTON — L'Association canadienne des libertés civiles a déposé un avis de motion dans sa contestation de l'avortement devant la Cour du Banc de la Reine du Nouveau-Brunswick. L'ACLC demande au tribunal de reconnaître que l'organisation peut poursuivre cette contestation au nom du public. En particulier, l'ACLC remplace les nombreuses personnes vulnérables qui ont eu besoin et auront besoin d'un accès à l'avortement, mais n'ont pas relevé ce défi par elles-mêmes.

L'ACLC comparaîtra devant le tribunal le 1er juin 2021 à 9h30 AT sur sa requête pour qualité pour agir dans l'intérêt public.

POURQUOI EST-CE IMPORTANT:

« L'avortement est une question de soins de santé de base et privée que personne ne devrait avoir à divulguer publiquement. Il est plus sensible que la plupart des formes de soins de santé en raison de la stigmatisation intense (et pire) imposée aux femmes, aux filles et aux personnes trans qui demandent un avortement. En tant qu'organisation nationale des droits de la personne, l'Association canadienne des libertés civiles a un intérêt direct, aux côtés des femmes, des filles et des personnes trans, à s'assurer que la province respecte ses obligations en vertu de la Charte, de la Loi sur les droits de la personne du Nouveau-Brunswick et de la Loi canadienne sur la santé. "

— Noa Mendelsohn Aviv, directrice, Programme d'égalité

Les experts de l'ACLC sont disponibles pour commentaires en anglais et en français.

 

*MISE À JOUR*

L'ACLC DÉPOSE UNE MOTION D'INTÉRÊT PUBLIC DANS SA POURSUITE CONTRE LE NOUVEAU-BRUNSWICK SUR L'ACCÈS À L'AVORTEMENT

L'Association canadienne des libertés civiles c. La province du Nouveau-Brunswick

FREDERICTON — L'Association canadienne des libertés civiles (ACLC) a déposé, dans le cadre de sa poursuite, un avis de motion devant la Cour du Banc de la Reine du Nouveau-Brunswick au sujet des restrictions provinciales en matière d'avortement : elle demande au tribunal de reconnaître à l'organisation le droit de poursuivre cette affaire en justice dans l'intérêt public. L'ACLC défend en particulier les nombreuses personnes vulnérables qui ont besoin et qui ont besoin de l'accès à l'avortement, mais qui ne sont pas en mesure de défendre leurs droits à cet égard. L'ACLC sera au tribunal le 1er juin 2021 à 9h30 HA pour faire valoir ses arguments quant à sa motion d'intérêt public.

Pourquoi est-ce important :

« L'avortement est une affaire de soin et personnelle que personne ne devrait avoir à divulguer publiquement. Compte tenu de la profonde stigmatisation (et pire) donnée aux femmes, aux jeunes filles et aux personnes transgenres qui cherchent à se faire avorter, il s'agit d'une question encore plus délicate que bien des soins de santé. En sa qualité d'organisme canadien de défense des droits de la personne, l'Association canadienne des libertés civiles a un intérêt direct à se porter à la défense des femmes, des jeunes filles et des personnes transgenres pour s'assurer que la province respecte ses obligations en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés, de la Loi sur les droits de la personne du Nouveau-Brunswick et de la Loi canadienne sur la santé. »

— Noa Mendelsohn Aviv, directrice, Programme d'égalité

 

Des spécialistes de l'ACLC se tiennent à la disposition des médias qui souhaitent obtenir des commentaires à ce sujet en français et en anglais.

 

Lire la requête déposée

À propos de l’association canadienne sur les libertés civiles

L’ACLC est un organisme indépendant à but non lucratif qui compte des sympathisant.e.s dans tout le pays. Fondé en 1964, c’est un organisme qui œuvre à l’échelle du Canada à la protection des droits et des libertés civiles de toute sa population.

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