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25 septembre 2020

Par Michael Bryant, directeur général, Association canadienne des libertés civiles

Avant une deuxième vague decoronavirusau Canada, Adjoint au maire de Toronto Stephen Holiday demande Ville Conseil (le 30 septembreequ'il s'agisse ce'le temps pour la Ville à tirer parti de sa puissance en tant qu'employeur, en « déployant » le l'application de notification d'exposition du pays,Alerte au covid, sur tous ses téléphones portables appartenant à la Ville et utilisés par des milliers d'employés.  Une municipalité peut-elle décider quoi les applications vont sur ses téléphones portables, si la paiguise alors sommes surveiller Employé de la villes d'une certaine façon? 

Ralentissez, dirions-nous.  Gardez à l'esprit cette Le Canada a adopté une approche très mûrement réfléchie et centrée sur la confidentialité de la technologie de recherche des contacts.  Utilisation du Alerte au covid l'application est explicitement volontaire. Tous l'analyse de confidentialité effectuée supposait que les individus auraient le choix de consentir de manière significative à son utilisation. SConseil devrait réaliser qu'il Peut être de jouer avec cette présomption sous-jacente.  Cela peut déranger le confiance publique que le national l'effort de santé publique doit être efficace.  Conseil devraient au moins entendre leurs travailleurs, et les responsables de la santé publique aux niveaux fédéral et provincial, avant qu'une idée trop intelligente n'aille plus loin.    

Laissant de côté ça risque énorme, il y a la question de ouvrier droits.  Un employeur peuvent être propriétaires des téléphones de leurs employés, mais pas de leurs ouvriers' dignité, liberté, ou intimité.  Les tribunaux ont reconnu que les travailleurs possédant des téléphones appartenant à l'employeur ont une attente raisonnable en matière de vie privée, même si elle est diminuée, permettre employeur accès à leur propriété. parfois cet accès est abordé au cours de la cnégociation collective traiter, mais plus la main d'oeuvre les accords n'a pas vu venir la pandémie. 

Ni peut 'déploiement' de l'application être justifiée simplement en sifflant la COVID. Tdemander des droits signifie sérieusement atteindre la proportionnalité entre les moyens et les fins.  Cette la nature du droit à la vie privée en l'espèce est très sérieux : suivi avec qui j'ai été en contact est l'affaire de surveillance policière nécessitant des mandats.  En revanche, l'impact sur la vie privée est faible, grâce à protections de la vie privée intégrées, et contrôle qui est donné par l'application à l'utilisateur.  Mais le service public de santé est aussi meugler, maintenant. C'est bas parce que pas assez de gens l'utilisent et cela ne changera pas, peu importe ce que fait Toronto.   

Donc si la hausse et la baisse sont faibles, un employeur unilatéralement faire ça ?  canadien la main d'oeuvre la loi offre une test facilement demandé mais pas facilement répondu:  que ce soit raisonnable dans l'ensemble des circonstances.  La réponse s'allume quel est exactement le Député maire signifie « déployer » l'application sur tous les mobiles City.  Je dirais cette la Ville ne peut faire plus que télécharger l'application sur ses téléphonessi pas du tout.  Cette COVID Alerter unpp permet aux utilisateurs de contrôler leurs informations privées à chaque étape de sa fonctionnalité.  La Ville ne peut et ne doit pas s'en mêler contrôle de l'utilisateur.   

Le « déploiement » interfère-t-il avec ce contrôle ? Il le fait sur un seul front : au lieu de contrôler si l'utilisateur s'engage, « déploiement » pourrait moyenne que les travailleurs doivent se retirer.  je ne dis pas qu'ils peuvent suivre les allées et venues de leurs employés à des fins de santé publique – ce n'est pas comme ça que l'application fonctionne.  Mais cvieux Conseil pousser l'application (opt-in) d'alerte COVID sur leurs employés, dont les informations seraient potentiellement partagées avec d'autres utilisateurs de l'application et potentiellement des responsables de la santé publique ?    

Pour que la Ville donne un coup de coude à ses travailleurs vers l'utilisation l'application, ils pourraient commencer par encourager autant par divers moyens de communication et de plaidoyer.   Mieux encore, offrez des incitatifs.  Si Conseil insisté pour aller plus loin, le seul moyen serait l'installation de l'application COVID Alertsans plus De cette façon l'utilisateur doit activer activement la fonctionnalité de l'application COVID Alert, bien que cela suppose connaissances des travailleurs et autonomisation des travailleurs.   

 Si l'employeur présume que les employés' choix et saisit ces informations pour l'employé, cela serait alors déraisonnable et donc illégal.  La Ville, de tous les employeurs, devrait prendre au sérieux les droits des travailleurs, ce qui signifie respecter leurs dignité, l'autonomie et la vie privée pour faire leurs propres choix partageant leur Contacts, et finalement leur état de santé, avec les autres.  Le plus gros le risque survient avec La plus grande ville du Canada aller trop viteprovoquant une avalanche de déraisonnable employeur les exigences d'une main-d'œuvre vulnérable, et ruiner la confiance nécessaire pour haute technologie santé publique solutions pour réaliser leur potentiel au Canada. 

À propos de l’association canadienne sur les libertés civiles

L’ACLC est un organisme indépendant à but non lucratif qui compte des sympathisant.e.s dans tout le pays. Fondé en 1964, c’est un organisme qui œuvre à l’échelle du Canada à la protection des droits et des libertés civiles de toute sa population.

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