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Vous voulez en savoir plus sur les récents changements apportés à la Loi sur la citoyenneté, mais vous ne savez pas par où commencer? Voici un résumé pour vous aider à démarrer.

Étant donné que la section Apprendre de TalkRights présente du contenu produit par des bénévoles de l'ACLC et des entretiens avec des experts dans leurs propres mots, les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement les propres politiques ou positions de l'ACLC. Pour les publications officielles, les rapports clés, les prises de position, la documentation juridique et les dernières nouvelles sur le travail de l'ACLC consultez la section In Focus de notre site Web.

Qu'est-ce que le projet de loi C-24 et quels nouveaux changements apporte-t-il au processus de citoyenneté?

Projet de loi C-24 Loi modifiant la Loi sur la citoyenneté et apportant des modifications corrélatives à d'autres lois (« le projet de loi C-24 ») a apporté plusieurs changements au processus de citoyenneté au Canada. Parmi les principaux changements, citons :

  • Une nouvelle disposition sur l'intention de résider: l'exigence selon laquelle les candidats doivent être physiquement présents au Canada de façon continue pendant 4 ans sur 6.
  • Calcul de la résidence: le temps passé au Canada en tant que résident non permanent ne compte pas dans le temps de résidence total du demandeur
  • Révocation du statut de citoyenneté: le statut de citoyenneté peut être révoqué pour des allégations de crime ou des condamnations pénales
  • Refus des demandes de citoyenneté: l'absence de documentation ou le refus de fournir la documentation dans certains délais entraînera l'abandon de la demande 
  • Canadiens perdus: certaines catégories de Canadiens perdus verront leur citoyenneté rétablie

Quand le projet de loi C-24 entrera-t-il en vigueur?

Le projet de loi C-24 est devenu loi le 19 juin 2014.  La majorité des dispositions du projet de loi sont entrées en vigueur à partir de cette date. Cependant, pour des raisons pratiques, certaines dispositions entreront en vigueur à des moments différents déterminés par le gouverneur en conseil. Il est conseillé aux candidats de se tenir au courant communiqués de presse du gouvernement du Canada pour les mises à jour.

Les dispositions suivantes sont entrées en vigueur immédiatement à compter de 19 juin 2014:

  • Le suivi rapide des demandes des Forces armées canadiennes
  • Les limites des demandes de citoyenneté des personnes nées à l'étranger
  • Le passage de la citoyenneté des fonctionnaires de la Couronne à leurs enfants, qu'ils soient nés à l'étranger ou adoptés
  • Dispositions sur les subventions discrétionnaires

Les dispositions suivantes sont entrées en vigueur à compter de 1er août 2014:

  • L'établissement d'agents de la citoyenneté comme principaux décideurs dans l'examen des demandes
  • La création d'un processus d'appel pour les décisions prises par les agents de la citoyenneté.
  • L'amélioration des pouvoirs de Citoyenneté et Immigration Canada (« CIC ») pour déterminer ce qui constitue une demande complète et quelles preuves sont jugées nécessaires. Le CIC a maintenant le droit de mettre des dossiers en attente et d'abandonner complètement un dossier à n'importe quelle étape du processus de demande si le demandeur ne fournit pas les informations demandées ou ne se présente pas à une entrevue.

Qu'est-ce que « l'intention de résider » ? Comment les voyages à l'extérieur du Canada sont-ils touchés?

La nouvelle exigence d'« intention de résider au Canada » fait référence au processus de naturalisation une fois que la citoyenneté est accordée. Cette exigence comporte deux volets : (1) l'intention de en continu résider au Canada à partir de la date de la demande de citoyenneté jusqu'au jour où le serment de citoyenneté est terminé et (2) présence physique au Canada mesurée en jours. Concrètement, cette exigence est remplie si le demandeur réside au Canada pendant au moins 183 jours au cours des 4 années sur 6 précédant la demande de citoyenneté. De manière générale, cela signifie que voyager à l'extérieur du Canada perturbera l'exigence d'intention de résider et entraînera donc un refus de citoyenneté. Cependant, il y a quelques exceptions à cela. Les voyages à l'extérieur du Canada seront toujours pris en compte dans le calcul de la résidence lorsque :

Un résident permanent est employé au service du Canada à l'étranger en tant que :

  • Un membre des Forces armées canadiennes, ou
  • Un employé de l'administration publique fédérale ou de la fonction publique d'une province

Un résident permanent est associé à un époux, un conjoint de fait ou un parent qui est un citoyen canadien employé au service du Canada à l'étranger en tant que :

  • Un membre des Forces armées canadiennes, ou
  • Un employé de l'administration publique fédérale ou de la fonction publique d'une province

Impact de la modification

Le problème du calcul de la « fidélité » du demandeur – Selon les rédacteurs du projet de loi, l'objectif de l'exigence de « l'intention de résider » est de « mettre l'accent sur le rattachement au Canada ». Cependant, mesurer l'« attachement » en termes de présence physique continue au Canada peut avoir pour effet de lier le désir d'un demandeur de rester au Canada avec le degré de sa résidence. Pour certains critiques, cela équivaut à une déclaration de méfiance : les candidats doivent démontrer leur loyauté envers le Canada avant que la citoyenneté ne soit accordée. Le directeur exécutif de l'ACLC a noté que « toute perte arbitraire de la citoyenneté est incompatible avec les valeurs démocratiques et les droits fondamentaux ». Les militants des libertés civiles s'inquiètent des conséquences qui découlent de telles dispositions d'exclusion. Ils soutiennent que la disposition exerce une pression indue sur les candidats pour qu'ils se conforment strictement à l'exigence de résidence, même si cela signifie sacrifier les études, l'emploi ou d'autres opportunités et obligations qui nécessitent un séjour prolongé à l'extérieur du Canada. Si les candidats ont l'impression que leur statut de citoyen est menacé en raison de la façon dont leurs choix de vie sont perçu par des représentants du gouvernement, cela peut en fait affaiblir ses liens avec le Canada.

Il existe également des préoccupations pratiques concernant le coût en ressources et en temps pour mettre en œuvre cette disposition dans la pratique. La complexité du calcul de la résidence totale est susceptible de mettre à rude épreuve le processus d'examen des demandes déjà long et nécessitera une plus grande allocation de ressources.

Dans quelles circonstances une demande de citoyenneté peut-elle être refusée?

Selon le gouvernement du Canada, une demande de citoyenneté sera refusée par un ministre si le demandeur a des antécédents criminels qui comprennent l'un des éléments suivants :

  • Une condamnation pour un acte criminel ou une infraction en vertu de la Loi sur la citoyenneté dans les 3 ans précédant la demande
  • Une charge actuelle pour un Loi sur la citoyenneté infraction
  • Temps actuel purgé en libération conditionnelle, en probation ou en prison
  • Une enquête, une accusation ou une condamnation pour un crime de guerre ou un crime contre l'humanité
  • La révocation de la citoyenneté au cours des 5 dernières années

Il est conseillé aux demandeurs en probation ou en attente de procès pour une accusation criminelle d'attendre la fin de la probation ou du procès pour demander la citoyenneté. Cependant, le temps passé en prison, en libération conditionnelle ou en probation lorsqu'une condamnation a été prononcée ne compte pas dans le temps total vécu au Canada aux fins de la citoyenneté.

Impact de la modification

Le projet de loi C-24 assume le rôle du système de justice pénale – Les raisons du refus d'une demande de citoyenneté ou de la révocation complète de la citoyenneté ont un fondement dans la criminalité perçue et réelle. Cela soulève des inquiétudes, car la décision de refuser la citoyenneté s'apparente à une punition en plus de toute conséquence pénale résultant d'une accusation criminelle ; dans le seul cas d'allégations, le résultat est le même. L'Association canadienne des avocats et avocates en droit des réfugiés et d'autres défenseurs des libertés civiles ont exprimé des inquiétudes quant au transfert d'une telle prise de décision des tribunaux pénaux vers un ministre de l'Immigration. Le système de justice pénale du Canada a toujours été le principal moyen par lequel les allégations criminelles sont entendues, jugées et tranchées, de manière impartiale et conformément aux principes de rétribution, de dénonciation, de dissuasion et de réhabilitation. Il est avancé que les tribunaux restent le forum le plus approprié pour de telles questions; placer cette responsabilité judiciaire ailleurs peut compromettre le processus judiciaire et les droits associés. Cela demeure une préoccupation valable lorsque la disposition ne fait pas de distinction entre les crimes commis au Canada et ceux commis à l'extérieur du Canada. Un niveau de nuance est nécessaire pour tenir compte de la difficulté d'assimiler les peines criminelles dans d'autres pays à celles reconnues au Canada.

Dans quelles circonstances la citoyenneté peut-elle être révoquée?

Le statut de citoyenneté peut être révoqué par un ministre lorsque la personne est considérée comme une menace pour la sécurité nationale ou a commis une fraude en matière de citoyenneté.

Menace pour la sécurité nationale

Les individus seront considérés comme une menace pour la sécurité nationale s'ils ont été reconnus coupables de l'une des infractions pénales suivantes avant ou après les nouvelles modifications du projet de loi :

  • Trahison ou haute trahison (par s.47 Code criminel et alinéas 10(2)(a) et 10(2)(e) de la Loi sur la défense nationale)
  • Une infraction de terrorisme (conformément à l'article 2 Code criminel)
  • Aider l'ennemi, au combat ou en tant que prisonnier de guerre (conformément à l'alinéa 10(2)(c) de la Loi sur la défense nationale)
  • Espionnage (conformément à l'article 10(2)(d) de la Loi sur la défense nationale)
  • Communiquer des informations protégées ou opérationnelles (conformément aux alinéas 10(2)(g) et 10(2)(h) de la Loi sur la défense nationale)
  • De plus, la citoyenneté sera révoquée lorsque la personne a servi en tant que membre d'une force armée dans un conflit armé contre le Canada ou si le ministre a des motifs raisonnables de croire qu'il l'a fait, et fait une déclaration réussie à la Cour fédérale à cet effet effet.

Fraude

La fraude à la citoyenneté peut impliquer soit une fausse déclaration, soit la dissimulation de faits pertinents dans le formulaire de demande de citoyenneté (par exemple, les détails de la naissance, l'état matrimonial, les antécédents professionnels et scolaires, etc.). Il peut également s'agir de faire semblant de vivre au Canada sans obtenir le statut de citoyen par le biais de la procédure appropriée. Si une demande de citoyenneté contient de faux faits ou s'il s'avère qu'une personne a obtenu, conservé, renoncé ou repris sa citoyenneté par fraude, sa demande et/ou son statut de citoyenneté seront révoqués.

Comment le projet de loi C-24 aborde-t-il le problème de la fraude à la citoyenneté?

Le projet de loi C-24 introduit un nouveau régime pour les cas réels ou présumés de fraude à la citoyenneté pouvant entraîner la révocation de la citoyenneté. Le ministre, le gouverneur en conseil et éventuellement la Cour fédérale sont impliqués dans cette nouvelle procédure plutôt qu'un juge seul. En cas de suspicion de fraude, le ministre examine toutes les preuves et décide si une fraude a été vraisemblablement commise. Si le ministre constate qu'une fraude a vraisemblablement été commise, la personne touchée perdra sa citoyenneté et deviendra résidente permanente. Si la personne touchée était un résident permanent et non un citoyen avant la découverte de la fraude, elle perdra son statut de résident permanent. Selon cette disposition, le ministre est tenu de notifier l'enquête sur la fraude dès le début afin que l'accusé puisse déposer une réponse écrite en retour. Si les règlements le permettent, une audience sera tenue, donnant à l'accusé l'occasion d'exprimer son point de vue. Cependant, la décision du ministre est considérée comme définitive. Cette décision peut faire l'objet d'un appel, mais un appel doit d'abord être demandé puis autorisé avant que l'appel puisse aller de l'avant.

Dans les cas où le ministre a des motifs raisonnables de croire qu'il y a fraude en matière de sécurité (comme dans le cas d'allégations ou de condamnations criminelles), une déclaration à la Cour fédérale est demandée. Le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile peut demander que la personne soit déclarée interdite de territoire au Canada en même temps. Si la Cour fédérale détermine qu'il y a eu fraude, la citoyenneté de la personne concernée est révoquée. Si la déclaration d'interdiction de territoire au Canada aboutit également à la décision du tribunal, la personne concernée est considérée comme un ressortissant étranger et peut alors être expulsée. 

Impact de la modification

Cibler la fraude et la suspicion des nouveaux arrivants – Bien que l'objectif déclaré des modifications apportées à la Loi sur la citoyenneté visait à « renforcer » l'institution de la citoyenneté canadienne, ces changements ont été controversés. Les critiques du projet de loi ont noté que les dispositions visant à éliminer la fraude à la citoyenneté sont basées sur une préoccupation exagérée. Des statistiques récentes ont montré qu'il y a relativement peu d'incidents de fraude à la citoyenneté. Bien que la fraude à la citoyenneté soit un problème, les défenseurs des libertés civiles appellent à une réponse proportionnée et à tout le moins, enfreignant le moins possible par rapport aux exigences récentes des demandeurs qui semblent à la fois strictes et arbitraires. Les défenseurs ont également exprimé leur inquiétude quant au fait que le processus fonctionne avec une suspicion inhérente et injustifiée à l'égard des nouveaux arrivants au Canada. Vu sous cet angle, il n'est pas certain que le dialogue sur l'inclusivité autour de la citoyenneté canadienne soit toujours respecté.

L'impact sur la régularité de la procédure – Les organisations de défense des libertés civiles, dont l'ACLC, sont également sceptiques quant aux modifications relatives aux processus de révision et d'appel. L'élargissement des pouvoirs discrétionnaires du ministre dans l'examen et la révocation des demandes peut poser un problème de justice. Le ministre n'est pas tenu de fournir les motifs de sa décision de révoquer la citoyenneté ou de refuser une demande. Si la transparence n'est pas atteinte dans ce processus, des questions de responsabilité et d'arbitraire se posent. Ceci est important étant donné que la décision d'accorder ou de refuser la citoyenneté a un impact profond sur la vie, le bien-être et les opportunités futures du demandeur individuel. Bien que les demandeurs puissent interjeter appel de la décision du ministre, les difficultés inhérentes au processus rendent effectivement la décision définitive dans la plupart des cas. Les candidats doivent demander et obtenir l'autorisation d'interjeter appel avant qu'il ne soit entendu. Il s'agit d'un changement important par rapport au droit d'appel d'un demandeur avant la modification. Certains militants des droits de l'homme craignent que même si un appel est accueilli, le juge de la Cour fédérale aurait peu de marge de manœuvre pour justifier l'annulation de la décision du ministre.

La possibilité d'apatridie – Selon l'Association canadienne des avocats et avocates en droit des réfugiés, le projet de loi C-24 a des limites générationnelles qui font de l'apatridie une réalité pour les personnes nées à l'étranger de parents canadiens et qui sont exclues de la citoyenneté dans le pays où elles sont nées. Cela peut se produire plus fréquemment que prévu à l'origine, car de nombreux pays refusent d'accorder la citoyenneté aux enfants dont les parents sont des ressortissants étrangers.

Qui sont les « Canadiens perdus » et comment le projet de loi C-24 aborde-t-il leurs problèmes particuliers de citoyenneté?

Les « Canadiens perdus » sont une vaste catégorie d'individus qui, pour la plupart, se croient Canadiens, (dans la plupart des cas) ont vécu au Canada pendant de nombreuses années et qui, techniquement, n'ont jamais possédé ou perdu leur citoyenneté en raison d'un certain nombre de et des lois incohérentes.

Le gouvernement du Canada reconnaît quatre groupes de Canadiens perdus :

  • Épouses de guerre
  • Personnes nées à l'étranger d'un parent canadien avant 1977 Loi sur la citoyenneté
  • Les personnes qui ont acquis la nationalité ou la citoyenneté d'un autre pays, soit de manière indépendante, soit par l'intermédiaire de leurs parents, au cours de la période de janvier 1947 et février 1977
  • Canadiens de la deuxième génération et des générations suivantes nés à l'étranger après 1977 Loi sur la citoyenneté Est entré en vigueur

Remèdes

Le projet de loi C-24 rétablit maintenant la citoyenneté à certaines catégories de Canadiens perdus :

  • Individus nés avant la Loi sur la citoyenneté canadienne 1947
  • Enfants de première génération nés à l'étranger d'un ou de parents nés avant la Loi sur la citoyenneté canadienne de 1947
  • Canadiens naturalisés qui n'étaient pas admissibles à la citoyenneté canadienne lorsque la Loi sur la citoyenneté canadienne est entrée en vigueur
    • Leurs enfants de première génération recevront également rétroactivement la citoyenneté canadienne
  • Sujets britanniques résidant au Canada avant le 1er janvier 1947 ou avant le 1er avril 1949 à Terre-Neuve
    • Leurs enfants de première génération recevront également rétroactivement la citoyenneté canadienne
  • Les personnes dont les grands-parents étaient à l'emploi de la Couronne et dont les parents sont nés à l'étranger au cours de leur l'emploi des parents par la Couronne

Quelle est la différence entre le statut d'immigrant, la résidence permanente et le statut de citoyenneté?

Statut d'immigrant

Le statut d'immigration permet à une personne de migrer et de résider au Canada. Pour obtenir le statut d'immigrant, les personnes doivent présenter une demande par le biais d'un programme gouvernemental, tel que le parrainage ou un programme de travailleurs. L'admissibilité est déterminée en fonction des exigences du programme et de l'admissibilité générale de la personne au Canada. Ceux qui tombent sous le coup de la disposition relative aux personnes interdites de territoire dans le Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés sont exclus de l'immigration au Canada.

Statut de résident permanent

Les résidents permanents sont généralement des citoyens d'un autre pays et résident habituellement au Canada de façon plus permanente que les étudiants ou les travailleurs étrangers. Ce statut est obtenu grâce à une demande acceptée, qui peut inclure une demande d'asile. Bien que les résidents permanents n'aient pas tous les droits dont jouissent les citoyens canadiens, ils ont tout de même le droit de :

  • Recevoir la plupart des avantages sociaux, y compris la couverture des soins de santé
  • Vivre, travailler ou étudier n'importe où au Canada 
  • Demander la citoyenneté canadienne
  • Bénéficiez des protections prévues par la loi, y compris les Charte canadienne des droits et libertés

Cependant, le statut de résident permanent peut être perdu si la personne ne vit pas au Canada pendant le nombre d'années prescrit, est condamnée au criminel et/ou reçoit l'ordre de quitter le Canada.

Statut de citoyenneté

La citoyenneté canadienne est le statut final qui peut être obtenu. Il offre la couverture la plus complète des droits et des responsabilités qui, selon certains, sont fondamentaux pour être membre à part entière au Canada, par opposition à un privilège qui peut être révoqué pour des raisons arbitraires ou injustes. Tous les droits des citoyens sont énoncés dans la loi canadienne et plus précisément, dans le Charte canadienne des droits et libertés.

À propos de l’association canadienne sur les libertés civiles

L’ACLC est un organisme indépendant à but non lucratif qui compte des sympathisant.e.s dans tout le pays. Fondé en 1964, c’est un organisme qui œuvre à l’échelle du Canada à la protection des droits et des libertés civiles de toute sa population.

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